Depuis l’antiquité, l’homme parle de l’énergie de la nature et du corps humain, cette connaissance a été découverte et pratiquée par différentes civilisations : indienne dans la médecine ayurvédique et la pratique du yoga, la Chine par le Tao, l’acupuncture, les remèdes rééquilibrant les cinq éléments et les cinq humeurs, la Grèce avec Hippocrate, les arabes avec la médecine des sels et des alkahësts, les africains, les sud-américains, les amérindiens et les celtes qui fabriquaient des quintessences fixant l’énergie des plantes qu’ils diluaient dans de l’hydromel.
Ils avaient tous découverts qu’une plante ou son extrait ne contient pas que des principes actifs mais renferment ou fixent dans sa structure moléculaire des énergies.
Le Chi, le Kai ou le Shakti sont traditionnellement pratiqués dans des sciences telles que le yoga et les arts martiaux.
Les différents énergies qui circulent dans le corps humain provoquent un halo d’énergie (champ électromagnétique) appelé plus communément « aura » en occident. Ces énergies circulent par des lignes ou des méridiens qui se concentrent dans des roues d’énergies (vortex) appelé chakras. Ils correspondent aux sept glandes endocrines. Toute matière et tout corps vivant dégagent une énergie dans le champ morphogénétique. L’aura humaine peut se décomposer en neuf couches ou corps subtiles mais seulement quatre sont généralement activées : la couche éthérique (ou vitale), la couche émotionnelle, la couche mentale inférieure et la couche mentale supérieure. (Voir travaux de Harold Saxton Bürr (Professor of Anatomy at the Yale University School of Medicine) en 1937 et Ruppert Sheldrake biologiste en 1981).
En 1939, Semyon Kirlian et son épouse Valentina ont inventé un système de photographies qui permet de visualiser un halo lumineux (corps vital chez les êtres vivants et émanation électromagnéti-que pour les objets) ressemblant à un ensemble de couleurs variées, autour d’objets ou d’êtres vivants (correspondants aux différents organes chez les humains). Cet halo lumineux est expliqué par « une ionisation gazeuse engendrée aux abords immédiats du sujet plongé dans un fort champ électrique alternatif ».
Au début du XXeme siècle également, la découverte des biorythmes dans plusieurs pays a permis d’émettre des études qui semblent confirmer que depuis la naissance et jusqu’à la mort, chaque être vivant subit l’influence dans son physique de trois couches principales d’un champ morphogénétique : émotionnel (astral), le mental inférieur, l’intellect et le mental supérieur dont les phases sont dites positives ou négatives. A ces cycles naturels, se sont ajoutés, dans le champ morphogénétique, d’autres mémoires, comme les cycles intuitif, culturel, spirituel ou passionnel qui donneraient lieu à des calculs pour évaluer les moments favorables et défavorables pour l’accomplissement de certaines actions. Cet halo d’énergie physique, émotionnelle et mentale voire supérieure semble en fait une matérialisation du fonctionnement positif ou négatif des différentes fonctions de l’organisme, qu’ils soient effectivement physiques , émotionnels ou mentale. Ces recherches ont amené a la création de différents appareils permettant de mesurer l’efficacité d’un produit thérapeutique, et de son action immédiate sur les différents corps énergétiques : ils peuvent également permettre de comparer l’énergie vitale de légumes ou fruits par exemple, cultivés soit de façon conventionnelle, soit de façon biologique.
A partir des années 50, de multiples scientifiques de Russie, des Pays de l’est puis en Occident ont développé diverses technologies qui permettaient de mesurer les biorythmes, l’émission quantitative et qualitative de l’énergie des différents organes du corps, comme par exemple en 1965, deux Anglais de l’université de Birmingham, Smart et Milner, puis plus tard Christian Malézieux, Jean-Marc Connoir, puis avec Guy Gruais. Georges Guilpin, et Hervé Moskovakis à leur tour font des recherches sur l’électrographie. Georges Hadjo a crée des appareils d’électrophysionique (en passant auparavant par l’électrographie puis l’électrophotonique) qui photographie la bioluminescence de tout être vivant ou de tout objet ou substances et plus particulièrement des points d’acupuncture : il a ensuite construits un appareil ou de multiples données sont enregistrées dans un programme afin d’émettre un diagnostic immédiat.
Pour information, en 1975, les Américains Stanley Krippner et Daniel Rubin publient un ouvrage, The Energies of Consciousness (Les Énergies de la Conscience), qui fait le point sur l’état des recherches dans le monde, et inaugurent des rencontres de chercheurs américains et soviétiques, consacrées aux recherches sur l’effet Kirlian. Le Roumain Dimitrescu est parvenu à mettre en évidence, au moyen d’un dérivé de l’effet Kirlian, qu’il nomme électronographie, les points d’acupuncture qui sont en fait des points de moindre résistance de la peau au passage de l’électricité.
Enfin, le développement de ces technologies aujourd’hui va de la mesure de l’énergie jusqu’aux contrôle des parasites présents dans le corps qui résonnent sur des fréquences différentes. Il est même possible de vérifier la compatibilité des aliments ou des médicaments sur notre organisme ou celui des animaux, mais également de comparer la qualité vibratoire d’un aliment ainsi que sa qualité moléculaire.
Un de nos patients russes a testé le Lapis Elixir avec un appareil de fabrication écossaise :
Cet appareil peut diagnostiquer les paramètres énergétiques des organes déficients, mais également d’analyser et supprimer les parasites nuisibles à l’organisme grâce à des fréquences électromagnétiques spécifiques pour chaque parasite et enfin vérifier en direct la biocompatibilité d’aliments et de médicaments ou compléments alimentaires.
Dans l’exemple suivant, le thérapeute et le patient ont eu la grande surprise (puis dans un second temps des scientifiques de l’Académie des Sciences de Russie), suite à l’analyse avec cet appareil qui mesure l’énergie de 37 organes, glandes et centres énergétiques, de constater que suite à la prise d’une seule dose de Lapis Élixir (mesures avant et après) non seulement 46 paramètres sur 47 revenaient à une amplitude d’énergie normale mais l’aura reconstituée par le logiciel montre que l’énergie se corrige et s’équilibre.
Diagnostic :
Diagnostic après la prise d’une seule dose de Lapis Elixir :
Analyse de l’énergie et des paramètres sur 47 organes et fonctions avant et après la prise d’une seule dose de Lapis Elixir
Analyse des paramètres sur 47 organes et fonction
Express – интерпретация цвета | Express – l’interprétation de la couleur | Express – color interpretation |
Гиперфункция резко выраженная | Hyperfonction exprimée fortement | Hyperfunction strongly expressed |
Гиперфункция выраженная | Hyperfonction exprimée | Hyperfunction expressed |
Гиперфункция умеренно выраженная | Hyperfonction exprimée modérément | Hyperfunction moderately expressed |
Гиперфункция слабо выраженная | Hyperfonction exprimée faiblement | Hyperfunction weakly expressed |
Норма | Norme | Norm |
Гипофункция слабо выраженная | Hypofonction exprimée faiblement | Hypofunction weakly expressed |
Гипофункция умеренно выраженная | Hypofonction exprimée modérément | Hypofunction moderately expressed |
Гипофункция выраженная | Hypofonction exprimée | Hypofunction expressed |
Гипофункция резко выраженная | Hypofonction exprimée fortement | Hypofunction strongly expressed |
Les Chakras
Corrélations entre le corps physique et les corps subtils
L’univers ainsi que le corps humain est composé dans son infiniment petit, à l’image de l’infiniment grands. Hermès Trismégiste dit : « tout ce qui est en bas, est comme ce qui est en haut » Notre corps est parcouru de multiples circuits ou lignes d’énergies qui le parcourent en tous sens, autant à l’intérieur qu’à l’extérieur. Les Indiens appellent ces lignes les nadi, les Chinois les méridiens. Nos ancêtres humains avaient une connaissance parfaite de ces lignes énergétiques et de leurs chakras (ou “çakras”) ainsi que des différents corps subtils autour de notre corps physique (à l’image des poupées russes). Les chakras et les différentes enveloppes vibratoires de notre corps sont en résonance avec différentes couches fréquentielles qui eux-mêmes sont en relation avec notre univers composé, de sept sous-univers et des galaxies, donc de l’infiniment petit à l’infiniment grand.
Nous avons sept corps subtils qui sont en relation avec sept chakras ou roues de lumière ayant chacune une couleur, une forme géométrique particulière directement reliées aux sept glandes endocrines (les humeurs) et aux fréquences des différentes planétes de notre univers.
Quels sont ces sept chakras ?
1 – Muladhara (couleur rouge):
Le premier chakra se trouve à la base de la colonne vertébrale, il représente la racine où la lumière qui monte de la coupe (la matrice), il est le lieu où réside l’énergie de vie (cellules souches) en relation avec les surrénales. Il est comparé à la région sacrée et assis en position du Lotus: il est le bonheur.
Muladhara le premier chakra met l’homme en résonnance vibratoire avec les forces de notre planéte et Sahasrara le septième chakra (la glande pituitaire) met l’homme en résonnance avec les forces cosmiques les plus élevées de notre énergie solaire.
Le chakra Muladhara sert de base à tous les autres chakras, celui-ci est logé à la base de l’épine de colonne vertébrale.
Notre conscience est par ce centre reliée à la volonté existentielle dans toutes les expressions matérielles de notre monde physique. Il est le siège de l’influence de conscience de vie de notre planète, notre “Mère Terre” .
Le chakra Sahasrara au sommet du crane est le lieu de rencontre ou la conscience révélée rejoint la matière , cette fusion “Mère/Père” est possible par le nadi Sushumna.
Muladhara est le chakra de rencontre entre la monade, siège du Père en nous : le chakra Sahasrara et le chakra Muladhara est la mère de la matière : la « Kundalini » est enroulée à la base de la colonne vertébrale.
2 – Swadhisthana (couleur orange) le deuxième chakra:
le siège de soi. C’est le lieu unique : où la nature primordiale irrigue, les gonades ou les ovaires. Il est le lieu de la sexualité et de la sensualité, il est d’ailleurs dans notre civilisation fort perturbé.
3 – Manipura (couleur jaune): le troisième chakra:
la ville ou cité des pierres précieuses. Il correspond au pancréas, au foie. Il gère l’émotionnel.
4 – Anahata (couleur verte):
le quatrième chakra: la force qui assoit le caractère supérieur. C’est le chakra de l’amour et du cœur.
5 – Vishudhha (couleur bleue):
le cinquième chakra: la purification ou l’invocation (le verbe). Il est en relation avec la thyroïde et parathyroïde.
6 – Ajna (couleur indigo):
le sixième chakra: il est le centre du troisième œil, la vision cachée ou la claire vision. Il est en relation avec la glande pituitaire : l’hypophyse.
7 – Sahasrara (couleur violette):
le septième chakra: il est au sommet du crâne et correspond au siège de l’état de conscience éveillée dans l’homme. Il dirige la glande endoctrine : la pinéale (ou épiphyse)
Il existe un autre chakra approximativement à vingt centimètres au dessus du septième: il est le siège du principe universel ou cosmique.
Les chakras sont en relation avec des vertus, des qualités ou des vices sur le plan psychologique.
Muladhara :
vertus: tempérance
qualité : sobriété
vice : gourmandise
Swadhisthana :
vertus : force
qualité : chasteté
vices : luxure
Manipura :
vertus : prudence
qualité : douceur
vice : colère
Anahata :
vertus : justice
qualité : charité, fraternité
vice : envie
Vishudhha :
vertus : charité
qualité : générosité
vice : l’avarice
Ajna :
vertus : espérance
qualité : courage
vice : paresse
Sahasrara :
vertus, fois
qualité : humilité
vice : orgueil
Ils correspondent aussi à des sons, à des formes géométriques, les huit points du double tétraèdre : d’énergie lévogyre pour l’homme et dextrogyre pour la femme, ils réagissent à différentes fréquences de notre environnement ainsi qu’à nos pensées et à nos émotions.
La vibration de ces chakras influence la qualité vibratoire de la lecture de notre ADN et notre ARN. L’ADN est composée de quatre bases protéiques et de vingt quatre acides aminées. L’image symbolique des quatre éléments et des vingt quatre énergies composées de douze énergies + et douze énergies – .
Ces roues de lumières suivant notre évolution physique (hygiène de vie), émotionnelle, mentale et spirituelle agissent par leurs énergies. Ils ouvrent des portes vibratoires (clés de passage : énergie vibratoire / support vibratoire). Ils agissent sur la codification et la lecture de notre patrimoine biologique, ceux-ci peuvent nous permettre d’avoir accès à d’autres plans de consciences qui influencent notre vie et la réalité de celle-ci.
Nous sommes composé d’un ensemble organique holographique en relation avec l’Ensemble : le Un (la lumière ou la Source).
Sahasrara est représenté chez les Bouddhistes par une coiffe qui recouvre la tête du Bouddha « les mille pétales ». Chez les Chrétiens par une auréole entourant la tête des Saints.
Toutes les hormones et leur fonction sont régentées par le chakra Sahasrara. Il est le centre unique et le siège de l’atome permanent de la conscience la plus élevée de l’être humain : la mémoire de notre conscience antérieure.
Le centre Sahasrara est caractérisé par la couleur violette (ésotérique) et blanche (exotérique). Ce chakra est le siège de la monade humaine et de l’humanité : le Père cosmique. La monade est un être (vous même) qui vit sur son plan de conscience propre et à chaque humain correspond une monade. L’humain en général n’a pas reçu l’enseignement lui permettant d’être au stade d’évolution afin d’établir une relation consciente avec la sienne (sa monade) qui elle même est en relation avec le Père : la monade universelle.
Mais par intermittence l’homme reçoit en provenance de sa monade des stimulis afin qu’il progresse (inspiration, idée de génie). Il faut pour cela que son mental et son émotionnel soient comme une vitre propre laissant passer la lumière blanche.
Dans les textes indiens, le chakra Muladhara a en lui Ishta-devata : la représentation de la mère du monde, qui est la mère incarnée dans notre planète, la maîtrise de l’énergie kundalini nous permet de rentrer en contact avec le serpent de feu Istha-devata notre ange gardien, qui comme une mère s’occupe de notre âme en évolution. C’est grâce à Istha-devata que le processus d’évolution par l’expérience de la vie (Karma) s’accomplit.
Le chakra Sahasrara, le siège de la monade, notre Père en nous n’a pas pour but de nous aider dans notre vie matérielle physique. Son souhait est de nous faire aboutir au plan le plus évolutif, Sahasrara est la réunion et la synthèse de tous les chakras. Il est le centre d’expression de la monade, siège ou est implanté le corps causal de notre âme, les yogis le nomment « Brahmarandra ». Le lotus ou siège la conscience du Dieu Brahma ou Dieu le père. Il est en relation avec le soleil spirituel de notre système solaire .
La glande pinéale (épiphyse) est active chez l’enfant en bas age, cette glande rentre en sommeil à la fin des sept premières années correspondant à la constitution du corps physique et éthérique. De sept ans à quatorze ans pour le corps émotionnel, de quatorze ans à vingt et un ans pour l’ajustement du corps mental de vingt et un ans (d’ou la majorité attribuée à cet age) à vingt huit ans pour le corps mental supérieur. C’est le même phénomène des sept premières années pour le thymus au niveau du quatrième chakra : Anahata.
Dans les textes anciens de différentes civilisations, au moment de la libération de l’âme et suivant le plan de conscience de la personne, ou au moment de la mort physique “l’âme” (ou conscience) peut sortir du corps : sur le plan astral inférieur ou supérieur par le troisième chakra, sur le plan mental par le quatrième chakra, sur le plan causal par le cinquième chakra, sur le plan bouddhique par le sixième chakra et par le plan atmique par le septième chakra. Pour les âmes très avancées le chakra du centre Sahasrara est la sortie au moment de la mort physique.
Le chakra Sahasrara est composé de douze pétales majeurs, de 960 pétales secondaires de toutes les couleurs et au centre de 28 pétales. Sa glande endocrine correspondante est l’épiphyse ou pinéale, ce chakra contrôle aussi les plexus choroïdes et hypothalamique. Il est le seul chakra tourné vers le haut, sa corole est blanche et au centre violette et a pour « Bija » le mantram : Om ou Aum ou Amen. Les cinquante lettres de l’alphabet sanskrit y sont répétées vingt fois et se lisent de droite à gauche. Shiva est au centre du lotus, il est assis sur le cygne cosmique Hamsa, symbole de l’expiration Ham et inspiration Sa.
La figure géométrique symbole des énergies du centre coccygien Muladhara est un cercle, au centre se trouve un carré, et au centre du carré un triangle pointe en bas : c’est le Traipura, symbole féminin de la shakti. Cette force féminine personnalise la Mère du monde : elle est l’énergie tellurique qui est en contact avec le cœur de notre planète.
Au centre du triangle Traipura se dresse le sexe d’un homme en érection, le pouvoir créateur mâle (le bâton de vie). Son nom sanskrit est Suyambu Lingam : un serpent qui s’enroule autour sur trois tours et demi et couvre de sa tête l’orifice du lingam. Ce serpent représente la déesse Kundalini : qui renferme l’énergie shaktique, la puissance cosmique de la mère et du monde matériel incarné. L’énergie du serpent Kundalini est enroulée de droite à gauche (dextrogyre).
La loi d’évolution pousse l’esprit et la matière à fusionner puis à s’incarner dans la forme physique : c’est le retour de la conscience dans la forme physique : la carnation. Et toute carnation est une rencontre fusionnelle de ces deux principes : Mère/Père.
La Kundalini n’est éveillée et s’élève vers le septième chakra (centre coronal) que si les autres centres d’énergie , les chakras ont été pleinement réharmonisé, et, quand Ida, Pingala et Sushumna sont libres et ouvert à la circulation de l’énergie mère. L’homme de notre civilisation a ces trois nadi principaux en grande partie affaiblie.
C’est pour cela qu’un travail de régénération physique (sur les atomes germes) est nécessaire afin que l’énergie puisse remonter et réharmoniser l’ensemble des fonctions organiques.
Il existe de fines membranes de tissus éthérique entre chaque chakra. Ces membranes se trouvent le long de l’épine dorsale. Elles ne disparaissent de manière naturelle pour laisser passer l’énergie qu’en ayant une bonne hygiène de vie et une maîtrise des émotions.
La Kundalini est une pleine alchimie de l’être.
Nos centres énergétiques (chakras) sont en relation avec les sept centres énergétiques de notre planète et les sept plans vibratoires de consciences universels. Les trois principes : Père, Mère, Fils représentent les trois principes alchimiques : le souffre, le sel et le mercure.
Ces trois principes vont apporter l’énergie universelle de vie à notre corps par nos chakras, et par le corps physico-éthérique.
Les chakras ou roues de lumières se comparent à des fleurs ayant des pétales en relation avec les nadis (lignes d’énergies). Chaque chakra reçoit des photons de lumière et exprime une couleur et émet un son qui lui est propre. Ces sons se prononcent sur différentes octaves, on les appelle : des Mantras. On les retrouve dans toutes les connaissances religieuses : la prière, les louanges, le OM chez les Indiens, le AMEN chez les Chrétiens.
Muladhara : quatre pétales et quatre nadi.
Svadhisthana : six pétales, six nadi.
Manipura : dix pétales, dix nadi.
Anahata : douze pétales, douze nadi.
Vishuddha : seize pétales, seize nadi.
Ajna : quatre vingt seize pétales, quatre vingt seize nadi.
Sahasrara : neuf cent soixante pétales, neuf cent soixante nadi.
Chaque pétale correspond à un son précis. Le soleil émet une énergie vitale composée des sept fréquences de bases.
Les sept fréquences des chakras apportent une énergie dynamique au sept mondes pour le corps physique : c’est le Prana solaire composé de particules issues de lumière. Cette lumière alimente les centres énergétiques de notre planète par le plan physico-éthérique de celle-ci, qui elle-même, alimente notre corps éthérique par le chakra Swadhisthana et plus particulièrement par la rate (il est de couleur rose). Le Prana ou force Pranique inonde tous les règnes de la nature.
– Le chakra Muladhara est le siège de l’énergie féminine
la mère du monde. Il est relié au centre de notre planète. Cette énergie est aujourd’hui endormie pour la plupart des êtres humains. Dans les textes anciens Indiens, Sumériens, Babyloniens, Égyptiens et Sud-Américains, Muladarha personnalise pour chaque personne humaine, la présence de la Mère du monde et la mémoire, il est le principe sel (alchimique).
– Le chakras Sahasrara
qui est au sommet du crâne (Golgotha) est le siège du Père, il est le principe souffre (alchimique). Le Père c’est la présence de la monade, notre ajusteur de conscience. Il est l’énergie masculine.
Le principe du Père contient une énergie de caractère électrique de vie appelée Fohat, c’est l’esprit des univers, la puissance créatrice du Père : le souffre alchimique universel : le premier logos.
Nous pouvons dire que Prana (le souffle) est la conscience de l’univers, l’amour, la sagesse du Fils, il est le principe mercuriel alchimique universel: le deuxième logo.
De façon plus simple, Muladhara renferme le principe de la mère, Sahasrara le principe du père, Prana le principe du fils.
Kundalini est reliè à la « Akasha » la matrice, la mémoire : la matière de l’univers, l’intelligence de la mère, la féminité le principe sel alchimique : le troisième logo.
Ces trois énergies forces, agissent sur la matière de l’infiniment petit à l’infiniment grand. Ils composent l’énergie de notre corps physico-éthérique et habite notre matière organique, mais aussi celle de notre planète la terre, qui est notre mère à tous.
Dans la matière moléculaire ou plus petite: atomique, nous avons une représentation de ce principe, par les électrons, les neutrons et les protons. Mais encore du plus petit par les quarks ou les cachions, qui sont soumis à une Loi très particulière : l’énergie électrique du Père les accélère. L’énergie magnétique de la Mère les ralentit, la résultante de ces deux énergies appliquées sur les forces quarks ou les tachyons contractent le temps.
L’énergie du fils par son électromagnétisme leur donne le mouvement. Je pense que certaines civilisations antiques avaient acquis ces connaissances du déplacement dans l’espace et le temps.
Ils sont une représentation dans l’infiniment petit, de l’énergie qu’est Kundalini ou troisième Logo, qui organise la nature par une énergie magnétique universelle.
Le Prana, deuxième Logo : l’âme notre conscience universelle, apporte vitalité à la matière par l’amour : la sagesse du fils solaire et des lois de l’électromagnétisme (ce qui explique l’art de la guérison par les mains).
L’esprit du Père, la volonté divine (Fohat) : le premier Logo donne cette cohésion à la matière en appliquant les lois de l’électricité universelle (la vie).
Ces trois principes forment et composent sept couches énergétiques ou quantiques (état quantique).
Ces trois logos qui composent la matière atomique, le corps éthérique (éther physique) et l’éther cosmique ou corps cosmique.
Le principe du premier Logo : le Père, la monade et Kundalini le troisième Logo la Mère, soit l’électricité et le magnétisme sont alimentés en énergie vitale et dynamique par le fils Prana : le deuxième Logo : l’électromagnétisme.
Le principe, sel (Mère), mercure (Fils) et souffre (Père) vont donner vie, force, sagesse, vitalité au corps physique éthérique et constituer ou matérialiser la constitution et le mouvement des quatre éléments : terre, air, eau, feu. Et les quatre tempéraments : sanguin, lymphatique, mélancolique et bilieux du corps physique dense, chimique.
Quant à l’éther cosmique (son plan physique) est composé de sept mondes habités.
Le monde de Dieu, le plan Adique.
Le monde des esprits vierges, le plan Anupadique.
Le monde de l’esprit Divin : le plan Nivarnique.
Le monde de l’esprit vital : le plan Bouddhique.
Le monde de l’esprit humain ou race humanoïde : le plan Manasique.
Le monde du désir : le plan Kamique.
Le monde physique : le plan Shulique.
Les quatre mondes cosmiques forment le corps éthérique immortel ou le corps de résurrection, le corps de lumière.
Le soleil émet donc une énergie vital septuple qui dynamise et vivifie notre structure organique dense, et notre structure énergétique subtile mais aussi les corps subtils de notre planète.
Le Prana est aussi important, même plus que notre alimentation, pour notre corps. D’ailleurs certains humains peuvent avec cette pratique Yoguique/Christique (Kiristique) d’amour, et de prière, se passer d’alimentation organique, cela est dû a une augmentation vibratoire de leur corps entier causé par la révélation de la conscience spirituelle, l’élévation de l’âme.
Le règne végétal absorbe lui aussi cette vitalité du Prana solaire, le Prana se concentre dans l’atmosphère jusqu’au milieu de la nuit (l’heure de passation du magistère Angélique). Le règne végétal fixe ces particules de vie jusqu’au matin, c’est d’ailleurs pour cette raison que les anciens herboristes médecins ramassaient les plantes médicinales le matin au levé du jour. Nous devons faire de même pour la rosée de printemps (masculine) et d’automne (féminine), ainsi que pour nos légumes, d’origine naturel et ancestral, et éviter toute assimilation de végétaux génétiquement modifiés ou clonés avec des particules animales.
Les anciens textes parlent de dix sortes de Prana, dont sept ayant leurs couleurs et leurs principes spécifiques. Dans le Ghéranda Samhita, qui est vieux de plusieurs milliers d’années (on se demande comment ils avaient toutes ces connaissances et quelle est la civilisation qui leur a donnée), livre sacré Indien, ils sont réduit à cinq, on les appelle les cinq Vayu. Ils sont la différenciation des cinq Prana dans le corps physico-éthérique, mais il n’est pas nécessaire par rapport à votre question, d’en donner la signification. Je dirai simplement que le chiffre cinq se retrouve partout: cinq doigts de la main : les cinq moudras, les cinq sens etc… Le chiffre cinq est le seul chiffre à structure pyramidal carré, pointe en haut symbolisant le père ou pointe en bas symbolisant la mère.
Les plus vieilles traditions écrites ou orales planétaire léguées par les Nagas, peuple de la connaissance, nous enseignent que notre ange gardien (Ishta Devata) a ses racines dans le centre de notre chakra Muladhara et que la mère du monde, l’origine de la vie y est incarnée.
Que notre septième chakra est le siège du Père: principe masculin, ou siège notre monade, notre ajusteur ou notre directeur de conscience spirituelle.
Kundalini, nous emmène à une relation très importante à comprendre et à vivre entre le principe du Père (la monade) et le principe de la Mère (notre mémoire). Donc de fusionner les deux principes: le féminin et le masculin. Et ainsi sortir de la dualité pour retourner au principe de l’unité, l’androgynéité : le UN.
Sahasrara, le centre coronal est le siège d’un atome germe permanent causal : le corps causal lui-même. Cet atome germe causal contient tout le programme de notre évolution et nous ramène à notre perfection. Il a et enregistre la mémoire spirituelle et physique de notre vie présente, il a en lui la mémoire de nos vies passées : personnelles.
Nous avons donc expliqué les deux atomes germes : du père Sahasrara et de la mère Muladhara. Nous allons expliquer les autres.
Anahata, est le siège de l’atome permanent physique. Il est logé à la pointe du ventricule gauche du cœur physique.
Svadhisthana, avec le centre splénique de la rate (couleur rose) est le siège de l’atome permanent éthérique.
Manipura, est le siège de l’atome permanent astral ou émotionnel. Il est logé dans le foie, en relation avec le centre ombilical.
Ajna, le centre pituitaire, glande hypophysaire est le siège de l’atome permanent mental. Le centre mental se décompose en deux parties. Le mental inférieur et le mental supérieur que nous pouvons définir par le mental objectif et le mental subjectif.
Les nadi ou méridiens, qu’ils soient physiques ou physico-éthériques sont des lignes de circulation de l’énergie Pranique.
Les livres tantriques (le Bhutashuddi Tantra) nous parlent de soixante douze mille nadi, qui sont en relation avec les soixante douze codifications de base de notre ADN et ARN (soixante douze mille divisé par soixante douze égal mille, mille est un nombre kabalistique correspondant à la lettre X, ce n’est certainement pas un hasard). Composée elle même de quatre protéines et de vingt quatre acides aminées. D’autres textes parlent de cinq cent cinquante mille nadis, mais tous ne sont pas physiques (méridiens). Tous les nadi ne suivent pas le trajet des nerfs, des artères et des veines (médecine Chinoise). Certains sont physiques, d’autres sont éthériques. Ces lignes d’énergies sont des véhicules entre les centres de forces: les chakras, les organes et le corps éthérique.
Kundalini est composé de trois nadi principaux : ils sont le fondement, les piliers de notre véhicule physique et forment la colonne vertébrale.
Pingala nadi : canal de droite, principe souffre du Père.
Ida nadi : canal de gauche, principe sel de la Mère.
Sushumna nadi : canal central, principe mercuriel du Fils.
La moelle épinière, le canal rachidien se trouve au centre dans la colonne vertébrale. Il est le système nerveux cérébro-spinal, il représente la matérialisation organique, chimique de Sushumna Nadi, qui prend sa racine dans la région sacré du coccyx (sacrum) et qui remonte jusqu’au sommet du crâne en passant par le haut de la nuque, la zone bulbo-protubérantielle ou Alta major qui est aussi un chakra, il représente le gardien du seuil.
De chaque côté de la colonne vertébrale, il y a une chaîne ganglionnaire réunies par des fibres nerveuses ; le sympathique ou végétatif orthosympathique. Il prend lui aussi sa racine dans la zone sacrée et remonte jusqu’à la base du crâne, mais il s’arrête à l’Alta major.
Le sympathique est double : à droite de la colonne vertébrale, il est la matérialisation organique de Pingala nadi et à gauche d’Ida nadi. Le sympathique est en relation par les nerfs avec les viscères du digestif, du système respiratoire ainsi que toutes les parties du corps.
Le système sympathique à double polarité (+/-) donne des impulsions informatives fréquentielles emanant du système nerveux central.
Ces processus physiologiques ainsi que le système hormonal, sont reliés par les nadi (méridiens physiques et éthériques) et les chakras en relation avec les glandes endocrines, il existe un rapport étroit de fonctionnement entre le corps physique, physico-éthérique et éthérique, mais aussi avec le corps astral (émotionnel) et le corps mental, qui se décomposent en deux plans : le mental inférieur et le mental supérieur celui-ci reçoit les impulsions du corps causal.
Le corps immortel de la conscience qui renferme le triple esprit, la triple personnalité divine, que les gnostiques appellent la monade (le Père, la Mère et le Fils dans l’occultisme Chrétien). On nous précise dans les textes bibliques que le fils est assit à la droite du Père : le Fils étant symbolysé par le nadi Shushumna.
Le nadi Sushumna est un canal d’énergie subtil reliant le corps causal immortel au corps éthérique ou physico-éthérique mortel.
Les yeux ainsi que les narines sont en contact avec l’énergie d’Ida et Pingala. Nous retrouvons d’ailleurs cet enseignement analogique dans les textes Égyptiens sur l’œil droit et l’œil gauche d’Horus, celui-ci reviendra dans le corps d’Osiris et devient le fils d’Isis. Ne représente-t-on pas dans l’ancienne Égypte Isis tenant dans ses bras Horus le fils d’Osiris. Le troisième œil est cité dans la mythologie Grecque (l’œil du Cyclope) mais surtout le troisième œil d’Horus : Vesica Piscis dont le calcul mathématique et géométrique nous amène à la compréhension des Zéphires. Nous retrouvons les mêmes symboles dans les textes Indiens.
Pour pratiquer Kundalini nous faisons appel entre autre au souffle Yogique apportant la maîtrise des cinq Pranas (cinq qualités de lumière) en relation avec les atomes germes. Il est important de connaître la géométrie et la couleur de chaque chakra. Visualisé la couleur d’un chakra pendant la méditation parait simple mais fixé la couleur demande une longue pratique ainsi que la maîtrise des sons ou mantras qui peuvent être prononcé sur sept octave différents (du son grave au plus aiguë. Les Moudras et la position des doigts et des mains est importante, elle permet de mettre en connexion les différents nadis avec les chakras et les énergies des plans de consciences.
Le quaternaire (quatre éléments) amène sa perfection dans un cinquième élément : le triple élément éther renfermant les trois principes ou l’expression de la vie originelle.
Le premier éther supérieur : le Père, principe souffre
Le deuxième éther intermédiaire : le principe Fils, le mercure.
Le troisième éther inférieur : le saint esprit : la Mère, le principe sel.
L’élément terre :
Soit l’élément solide, qui représente et contient le système des fonctions d’assimilations et de dissimilation. Cet élément chimique des solides, est aussi l’attraction physique : le cerveau, le cœur, les poumons, la rate, le foie, l’estomac, l’intestin, les reins, le pancréas, la vessie, la colonne vertébrale, l’ossature.
L’élément eau :
Régit le système des fonctions endocriniennes et hormonales, qui dirigent les humeurs et les liquides.
L’élément air :
Régit les fonctions nerveuses en générale (sympathique et parasympathique).
L’élément feu :
Régit les fonctions circulatoires : artères, veines. Il constitue la forme chimique de l’être et le véhicule de l’éther.
The Three Principles (3) :
L’éther inférieur :
est manifesté par la fonction et l’énergie sacrée, logée à la base de la colonne vertébrale. C’est l’énergie de survie, de reproduction du principe mâle et femelle. Il est le symbole de l’énergie du Saint esprit. La mère qui irrigue la zone sacrée, siège de la Kundalini énergie de la création formelle.
L’éther intermédiaire :
il est manifesté par la fonction cérébrale et spinale (colonne vertébrale). Il est l’expression de l’éther lumière qui régit la chaleur du sang et la fonction des cinq sens. Il symbolise l’énergie du fils qui irradie le système cérébro-spinal, le cervelet. Il est l’éther de la connaissance et de l’expérience (33 vertèbres).
L’éther supérieur :
il manifeste l’énergie la plus élevée du corps éthérique. Il agit par le système des fonctions cérébrales les plus élevées de l’homme (pituitaire, pinéale). Il exprime et agit sur les pensées, il est l’énergie symbolique du père Divin, qui irrigue le cerveau de l’homme. Il est l’éther qui donne l’expression de la volonté humaine.
Nous sommes dans notre structure composés de sept “vêtements” : le corps physique chimique, le corps physique éthérique, le corps émotionnel, le corps mental objectif, le corps mental subjectif qui représente le corps de raison (causal, intelligence, vérité, manasique), le corps d’intuition (amour, sagesse, christique, bouddique, esprit vital), le corps de volonté (intuition, pouvoir, divinité, atmique esprit Divin).
Il existe deux autres corps, qui sont le corps anupadique et le corps adique.
Les quatre premiers corps représentent l’aspect matière et les trois autres corps l’aspect esprit. L’homme est corps et esprit, et l’âme existe dans ce corps et esprit. Elle se manifeste par le corps mental subjectif ou corps causal qui est l’expression de la triple conscience de celle-ci.
La matière représente symboliquement le principe féminin universel, le corps de personnalité physique, matériel, notre nature animale instinctive.
L’esprit représente symboliquement le principe masculin universel, la personnalité spirituelle cette nature supra-consciente.
L’être humain est matière et esprit, c’est un être androgyne, c’est une nature hermaphrodite : c’est l’être humain archétypal. L’humain hermaphrodite originel qui renferme l’éternel féminin et l’éternel masculin. C’est Dieu qui l’engendra à l’origine.
De cette fusion de notre matière et de notre esprit naît le fils de l’homme, notre âme, notre conscience universelle. Nous ne sommes ni notre corps, ni notre esprit mais les deux à la fois.
L’âme est vivante, une lumineuse lumière . Elle n’est pas une matière animale et n’est pas un pur esprit. Elle est semi- matérielle, elle est imprégnée des quatre essences élémentaires de la matière qui forment la personnalité de celle-ci.
Elle est semi-spirituelle étant imprégnée des trois principes supérieurs : l’essence de notre nature spirituelle.
L’âme n’est pas mortelle comme le corps, elle n’est pas éternelle non plus comme l’esprit mais elle est immortelle comme la conscience.
18/11/07
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